Sécheresse intime, on vous dit tout !

Vers 45-50 ans, l’arrivée de la ménopause peut perturber votre quotidien. La diminution de la production des hormones féminines peut entraîner bouffées de chaleur, suées nocturnes mais aussi sécheresse vaginale alors qu’à cette étape de votre vie vos envies sont en plein renouveau ! Ce chamboulement hormonal a également des répercussions au niveau intime : la vulve et le vagin ne sont plus imprégnés d’hormones féminines. Les muqueuses deviennent plus minces, plus fragiles, et peuvent facilement s’irriter, notamment lors des rapports sexuels, mais pas seulement. Même au quotidien, une gêne telle que des irritations liées à la sécheresse intime, peuvent apparaître.

Si vous ressentez cela, sachez que vous n’êtes pas la seule. 68% des femmes ménopausées souffrant de sécheresse intimes ont moins de rapports sexuels(1). Et à force d’appréhender l’acte sexuel, il arrive que le désir, et donc la lubrification naturelle, diminuent.

Souvent, après un rapport douloureux, on appréhende de faire l’amour, on a du mal à parler de ce problème avec son partenaire, et finalement, le sexe devient tabou et les câlins se font de plus en plus rares. Ainsi, un sentiment de culpabilité vient s’immiscer dans le couple, ce qui peut réduire le désir et l’envie de l’autre. Pour éviter d’en arriver là, vous pouvez prévenir les petits problèmes de sécheresse intime: plusieurs solutions existent.

L’hygiène intime à la ménopause

Tout d’abord, si vous souffrez de sécheresse intime, optez pour des produits d’hygiène intime adaptés comme Hydralin® Sécheresse, qui nettoie en douceur et lutte contre la sensation de sécheresse intime. Les conseils habituels pour la toilette intime restent bien sûr d’actualité : port de sous-vêtements en coton pour limiter le risque d’irritations, toilette intime quotidienne avec la main plutôt que le gant de toilette, etc.

(1) Etude IFOP/Bayer® : L’impact des problèmes de sécheresse intime sur la vie sexuelle des Françaises en phase de péri-ménopause et de ménopause - Février 2015. Enquête réalisée sur un échantillon représentatif de 1402 Françaises (45-60 ans) dont 685 sont en ménopause ou périménopause.